D’où vient le nom Pause toi ?

Je vais te raconter pourquoi j’ai choisi le nom Pause toi.

Pour cela, il faut que je t’explique un peu le contexte dans lequel je me trouvais en 2018.

J’ai pris un poste de direction salariée dans un groupe de sociétés en 2017, après 5 ans de missions en tant que consultante extérieure. Les locaux étaient situés à 70 kms, à l’opposé de chez moi en région parisienne. J’y allais en voiture 4 jours par semaine, en faisant des horaires extra larges pour éviter au maximum les bouchons (départ maison 5h45 – retour maison 20h/21h).
Ma fille avait alors 3 ans et rentrait en maternelle et mon fils avait 11 ans et s’ennuyait au collège. C’est mon mari, indépendant, qui gérait toute la logistique.
Ce job me plaisait énormément, il était très bien payé et c’était un super challenge pour moi.
J’avais un énorme besoin de reconnaissance professionnelle.
J’ai découvert que le corps humain est une formidable machine, à la résistance incroyable.
Je pouvais dormir 4 heures et enchaîner une journée intense de travail ! Et ça, plusieurs fois dans la semaine. J’avais une énergie de dingue. Je gérais énormément de choses de front au travail et à la maison et j’en étais très fière.
Je me sentais comme Wonderwoman, mon héroïne d’enfance préférée.

Mais voilà, au bout de deux ans, je m’épuisais de plus en plus.
Je tirais constamment sur la corde, je pouvais m’endormir à la demande en une fraction de secondes, j’avais la « gueule de bois » le samedi (sans avoir bu une goutte d’alcool) et je devais prendre du Doliprane pour calmer mes maux de tête.
Je faisais régulièrement des migraines carabinées, des torticolis et des lumbagos. J’ai même fait une infection urinaire bien corsée. J’allais régulièrement chez l’acupunctrice pour qu’elle remonte mon énergie…
Mes vacances ne réussissaient pas à me reposer et ma libido n’était pas terrible.

Pourtant, j’ai mis du temps avant de m’avouer que je n’en pouvais plus et encore plus avant de prendre la décision de tout arrêter.
Renoncer, abandonner était pour moi un échec personnel… Je me devais de tenir alors que tous les voyants étaient au rouge !
Je me souviens encore du moment où j’ai trouvé les mots pour expliquer à mon mari que si je n’arrêtais pas ce travail, quelque chose de terrible allait arriver
Je faisais 2/3 heures de route quand j’allais travailler, avec très peu d’heures de sommeil à l’époque. Je te laisse imaginer à quoi je pensais…

Et puis le fait de ne pas pouvoir m’occuper du quotidien de mes enfants 4 jours par semaine commençait à me peser.
En plus, je n’emmenais jamais ma fille à l’école (sauf à la rentrée) et je n’étais pas là pour les réunions scolaires. C’était un prix à payer de plus en plus lourd à porter.
Une chose dont je ne suis vraiment pas fière aujourd’hui, c’est que j’ai même demandé à une salariée de mon équipe de faire plus d’efforts par rapport à sa vie de famille pour tenir le rythme…
Je n’avais plus de recul, mon humanité se faisait la malle.

A la rentrée 2018, j’ai cherché des solutions pour changer de rythme de travail : être plus productive, prioriser, rentrer plus tôt le soir (mais je passais plus de temps dans les bouchons), faire du yoga un soir dans la semaine (mais j’avais des réunions ou des dossiers urgents à sortir et je loupais le cours), sortir marcher à la pause déjeuner, faire des méditations flash dans ma voiture, dans les toilettes…
J’ai testé des outils pour libérer mes tensions (comme crier dans ma voiture ou faire des exercices dans les toilettes), j’ai écouté des podcasts dans la voiture pour changer mon mindset…

Mais le rythme infernal n’a jamais disparu et je subissais le stress de plein fouet. J’étais tout le temps en colère et je ne supportais plus personne.
Je perdais mon énergie, le sens de ce travail et ma santé
Ma thyroïde m’a rappelé à l’ordre, on venait de me diagnostiquer une maladie auto immune.
Un peu avant l’été 2019, j’ai décidé de quitter ce travail. J’ai cherché une autre orientation, après un travail d’introspection pas très simple à faire dans un état de grande lassitude.
J’ai testé des méthodes alternatives : reiki, soins énergétiques, naturopathie, sophrologie…
Et j’ai choisi d’exercer un métier dans l’accompagnement.

C’est durant cette période difficile (été 2018 – été 2019), que j’ai cherché de l’aide en ligne.
Et je me souviens avoir tapé dans la barre Google « faire une pause », parce que c’était la chose dont j’avais le plus besoin à l’époque.
Les résultats m’avaient déçu : on parlait plus de faire un break amoureux qu’autre chose ! Et ce n’était pas ce dont j’avais besoin.
Je sais aujourd’hui que j’ai frôlé le burn out et que c’était bien les pauses, la solution à mes problèmes.

Et c’est tout naturellement le nom Pause toi, qui s’est imposé dans mon esprit lorsque j’ai cherché, plus tard, un nom pour mon entreprise.

  • Faire une pause dans sa vie lorsque le sens a disparu
  • Se poser le temps d’une séance pour écouter, apaiser, accepter et infuser

C’est exactement ce que je peux proposer aujourd’hui.

A l’époque, j’aurai voulu trouver un accompagnement, qui collait précisément à ma problématique personnelle.
Un accompagnement en ligne que j’aurai pu moduler en temps et en durée à mon rythme de travail.
Un accompagnement qui répondrait à tous mes problèmes :
– un peu au niveau physique
– au niveau mental
– et beaucoup au niveau émotionnel
Un accompagnement qui me donnerait à la fois des outils concrets et pratiques pour améliorer ma vie de tous les jours mais aussi qui me permettrait d’effectuer un travail de fond pour répondre à des questions plus spirituels et dépasser mes blocages.

Cet accompagnement, il existe aujourd’hui pour toutes les Corinne, qui subissent leur vie et c’est l’accompagnement Pause toi et rayonne !
Je te laisse voir le détail ici, si cela te parle.

Tu sais maintenant pourquoi j’ai choisi ce nom-là !